Comment ne pas y croire ?
Après avoir assisté au match face à Caen, avec le recrutement effectué à cette date, nous étions à la fois déçus, amers et pleins d’espoir.
Déçus par le résultat bien sûr, amers à cause de la première partie de la saison et de l’incapacité des dirigeants de l’époque (malgré de nombreuses promesses) de bâtir une équipe compétitive, mais plein d’une folle espérance quant à la suite…
Le match face à Metz avec la victoire au bout, et les dernières arrivées de ce mercato nous ont remplis d’aise. Il ne nous restait plus qu’à voir cette équipe en action. Le match contre Laval était l’occasion rêvée pour nous « parisiens ».
Toutes les recrues n’étaient pas présentes, mais l’effectif aligné ressemblait enfin à une formation de L2. Sans jeter la pierre à ceux qui sont partis (quoique certains le méritent vraiment), ou à ceux qui ont perdu leur place, il n’y a pas photo avec entre l’avant et l’après mercato. Tant au niveau sportif qu’au niveau implication dans l’opération « survie » du Sporting.
Pour revenir sur le match face à Laval, si l’on ne prend en compte que la première mi-temps, nous avons bel et bien perdu 2 points. Nos bleus ont dominé les débats de la tête et des épaules, et auraient dû « tuer le match » sur 2 belles occasions.
De façon surprenante, la deuxième mi-temps fut tout autre, et finalement le nul est logique. Le syndrome « Strasbourg ou Nîmes » a plané sur la tribune « Visiteurs » durant le dernier ¼ d’heure et lors des 5 minutes de temps additionnel !
Après le prochain match, à Furiani, contre Dijon (victoire impérative), nous aurons l’occasion de retrouver nos bleus à Nantes, et cette fois avec l’ensemble des recrues.
De nombreux Turchini présents à Laval se sont d’ores et déjà donné rendez-vous à la Beaujoire. Vous aussi venez grossir nos rangs afin de participer à ce challenge du maintien.
Un grand merci à l’équipe dirigeante présente à Laval pour son aide et sa disponibilité avant et après le match.
FORZA BASTIA !
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