Deux matchs…
… pour le prix d’un !
Comme annoncé dans la presse, Stéphane Rossi a profité de cette rencontre de préparation pour effectuer une large revue d’effectif à laquelle ne participaient pas Bocognano, Moretti, Boutrah et Carlotti plus ou moins blessés.
A la suite de cette rencontre il ne faudra pas commettre l’erreur de porter de jugements définitifs dans un sens comme dans l’autre. N’oublions pas que nous avions à faire à un groupe de L2 en fin de préparation contre un autre de N3 qui n’a repris le chemin de l’IGESA que depuis une semaine.
C’est un « 4-4-2 » composé de Martin, Cioni, Mary, Medori, Salis, Poggi, Coulibaly, Genest, Haguy, Schur et Tskhadadze, équipe vraisemblablement pas trop loin de l’équipe type qui opère durant la première mi-temps.
La défense qui était le point fort de notre équipe la saison passée et immédiatement mise sous pression et les erreurs de placement et autres relances approximatives permettent aux ajacciens d’ouvrir rapidement le score. D’autres suivront tout au long de ces 45 premières minutes qui donneront un score de 4-0 à la pause.
Pas de milieu offensif côté bastiais donc très peu de possibilités pour nos deux pointes. A 1-0 Haguy ratera son face à face avec le gardien ajaccien et Tskhadadze ne parviendra pas à cadrer un retourné en pleine surface.
La deuxième mi-temps est, à quelques éléments près, celle des « réservistes » des deux équipes. Stéphane Rossi aligne Martin, Santini, Roncaglia, Salis (puis Medori), Akanni, Poggi (puis Schur), Piercecchi, Lorenzi, Kherbache, Belle et Mesbah.
Nos « jeunes » sont assez entreprenant en début de mi-temps auront plus de mal par la suite. Comme pour leurs « aînés » c’est dans l’ordre des choses. Ils répondront de belle manière au but ajaccien en « égalisant » par Schur à la suite d’un beau travail côté gauche de Belle.
Comme nous l’avons dit il serait hasardeux de tirer des conclusions hâtives à la suite de cette rencontre. Cependant l’arrière garde ne nous a pas donner de gage de sécurité, les erreurs de placement n’ont pas grand-chose à voir avec l’état de fraîcheur, et notre secteur offensif semble orphelin de sa pointe aux 17 buts…
FORZA BASTIA !